13 avril 2005
Conférences
30 mars 2005
Publications
Référence complète : :Frison-Roche, M.-A., "Le droit économique donne la priorité à son objet et en épouse les contours", Petites Affiches, 30 mars 2005, pp.3-8.
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22 mars 2005
Conférences
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, "Conclusion", in La loi Galland : la réforme impossible ?, Rencontres Petites Affiches, 22 mars 2005, Paris.
La conférence a servi d'appui à un article publié par la suite : La perspective de réforme de la Loi Galland.
21 mars 2005
Conférences
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, "Là où pourrait porter la recherche juridique en matière économique et sociale", in Quelques perspectives pour la recherche juridique ?, 21 mars 2005, Paris.
La conférence a servi d'appui à la publication d'un article en 2007.
15 mars 2005
Conférences
14 mars 2005
Conférences
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, "Le couple ex ante/ ex post, justification d’un droit propre et spécifique de la régulation", in Ex ante versus Ex post, 12ième forum de la régulation, 14 mars 2005, Paris.
Cette conférence a servi d'appui à la publication d'un article en 2006 : Le couple Ex Ante - Ex post, justification d'un droit droit et spécifique de la régulation.
11 mars 2005
Publications
► Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, "L’hypothèse de l’interrégulation", in Les risques de régulation, coll. « Droit et Économie de la Régulation », t.3, Dalloz / Presses de Sciences-Po, 2005, p.69-80.
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► Résumé de l'article : Cet article a pour objet de proposer une nouvelle notion, amorcée dans l'article "Le Droit de la Régulation : "l’interrégulation". Il s’agit de mettre en place un mécanisme qui permet d’aboutir à une décision unifiée alors que plusieurs régulations autonomes, voire contradictoires, sont légitimes à prétendre la régir. Cela répond donc à une lacune du système général, dont l’antinomie est une variante. Le pouvoir politique n’a plus les moyens d’unifier ces sources disparates parce qu’il est "dépassé par le mondialisation des secteurs et des marchés. De la même façon, le mode hiérarchique du droit traditionnel ne peut convenir à des régulations autonomes. Il faut donc une interrégulation entre les régulateurs, sur le mode d’une doctrine commune, ou par des moyens procéduraux, comme cela de "l’avis autorisé".
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► Accéder à la présentation générale de l'ouvrage Les risques de régulation, dans lequel la contribution a été publiée.
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► Lire le résumé de l'article ci-dessous ⤵
9 mars 2005
Responsabilités éditoriales : Direction de la collection "Droit et Economie", L.G.D.J. - Lextenso éditions (29)
Référence complète : Bonfils, S., Le droit des obligations dans l’intermédiation financière, préface de Marie-Anne Frison-Roche, coll. "Droit et Économie", LGDJ - Lextenson, 2005, 359 p.
Il s'agit du 1ier ouvrage publié dans la collection "Droit et Économie".
Consulter l'ensemble des ouvrages publiés dans cette Collection.
1 mars 2005
Organisation de manifestations scientifiques
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne (dir.), Droit, économie, justice et secteur bancaire, cycle de conférence de la Chaire Régulation, Institut d'étude politique de Paris (Science Po), janvier à octobre 2005
Lire l'interview donné par Guy Canivet et Marie-Anne Frison-Roche à propos de ce cycle de conférences.
En 2006, un ouvrage construit à partir de ce cycle de conférences, Les banques entre Droit et Économie, a été publié dans la collection "Droit et Économie"
9 février 2005
Publications
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, Le contrôle judiciaire sur le règlement des différends exercé par le régulateur (les enseignements du cas Sinerg), Revue Lamy Concurrence, n°3, mai/juillet 2005, pp.107-110.
8 février 2005
Publications
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, Régulation et contrat è présentation du thème et synthèse du 11ième Forum de la régulation, Petites Affiches, 3 mai 2005, pp.3-10.
1 février 2005
Publications
►Référence complète : Frison-Roche, M.-A., L’hypothèse de l’interrégulation, in Frison-Roche, M.-A. (dir.), Les risques de régulation, coll. « Droit et Économie de la Régulation », t.3, Dalloz / Presses de Sciences-Po, 2005, p.69-80.
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►Résumé de l'article : Cet article a pour objet de proposer une nouvelle notion : "l'interrégulation".
Il s'agit de mettre en place un mécanisme qui permet d'aboutir à une décision unifiée alors que plusieurs régulations autonomes, voire contradictoires, sont légitimes à prétendre la régir.
Cela répond donc à une lacune du système général, dont l'antinomie est une variante. Le pouvoir politique n'a plus les moyens d'unifier ces sources disparates parce qu'il est "dépassé par la mondialisation des secteurs et des marchés. De la même façon, le mode hiérarchique du droit traditionnel ne peut convenir à des régulations autonomes.
Il faut donc une interrégulation entre les régulateurs, sur le mode d'une doctrine commune, ou par des moyens procéduraux, comme cela de "l'avis autorisé".
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►Lire le résumé plus développé de l'article ci-dessous ⤵️
27 janvier 2005
Base Documentaire : Doctrine
Référence complète : KLEIN, Michael, The World Bank approch to the role of the regulation in economic performance, in CANIVET, Guy, FRISON-ROCHE, Marie-Anne, KLEIN, Michael, Mesurer l'efficacité économique du droit, coll. "Droit et Économie", L.G.D.J., Paris, 2005, p.9-12.
Lire ci-dessous le résumé de cet article.
27 janvier 2005
Responsabilités éditoriales : Direction de la collection "Droit et Economie", L.G.D.J. - Lextenso éditions (29)
Référence complète : CANIVET, Guy, KLEIN, Michael, FRISON-ROCHE, Marie-Anne (dir.), Mesurer l'efficacité économique du droit, coll "Droit et Economie", LGDJ, 2005, 148 p.
L'ouvrage, construit avec des personnalités de la Banque Mondiale, étudie les rapports Doing Business. La première partie de l'ouvrage porte sur l'idée-même de mesurer économiquement le droit. Du sorte de débat contradictoire entre les parties, il s'avère que le principe en est bon, mais qu'il ne faut pas méconnaître la part de valeur qu'exprime le droit et qu'en outre, une conception trop étriquée du droit, réduite à une simple accumulation de règles, méconnaît sa nature et fausse donc son évaluation. La seconde partie de l'ouvrage construite selon cette même méthode contradictoire étudie les critères de l'évaluation économique. Il en résulte que même si celle-ci est profitable, car le droit est un instrument de prospérité, son évaluation doit en être faite avec une grande prudence car elle n'est pas neutre et revient souvent de fait à privilégier un modèle de système juridique. En outre, les systèmes économiques sont complexes et l'évaluation du droit doit refléter cette complexité.
Lire l'article introductif de Guy Canivet et Marie-Anne Frison-Roche.
Lire la présentation de l'article de Marie-Anne Frison-Roche L'idée de mesurer l'efficacité économique du droit.
Lire l'article de Mikael Klein.
Consulter l'ensemble de de la collection dans laquelle l'ouvrage est publié.
Lire le résumé de l'ouvrage ci-dessous.
27 janvier 2005
Publications
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, L’idée de mesurer l’efficacité économique du droit, in CANIVET, Guy, KLEIN, Michael, FRISON-ROCHE, Marie-Anne (dir.), Mesurer l’efficacité économique du droit, coll. "Droit et Economie", LGDJ, 2005, pp.19-32.
Lire la présentation générale de l'ouvrage dans lequel l'article est paru.
25 janvier 2005
Publications
► Résumé de l'ouvrage : Cet ouvrage correspond au troisième volume de la collection consacrée au « droit et économie de la régulation », crée par Marie-Anne Frison-Roche. Ce volume fait suite à un premier qui était consacré aux questions de légitimité et à un deuxième portant sur les règles et les pouvoirs. Il sera suivi par trois autres volumes, le volume 4 étant consacré aux engagements, le volume 5 étant consacré aux responsabilités, et le volume 6 ayant trait à la régulation de la santé.
Cet ouvrage sur la crise, édité en 2005, c'est-à-dire deux ans avant les premiers événements de la crise financière mondiale, a pour ambition de restituer non pas tant les risques qui sont l’objet d’une régulation, par exemple les risques financiers ou les risques écologiques, mais de poser que la régulation elle-même est source de risque. En effet, la régulation peut être incertaine, les régulateurs peuvent commettre des erreurs, il peut même y avoir des fautes de régulation, de sorte que c’est de la régulation que sort la crise. S’articule alors un cercle vicieux entre les risques inhérents aux systèmes régulés, puisque c’est leur présence qui justifie l’appareillage régulatoire, et les risques de régulation, de nature différente, souvent de nature scientifique ou institutionnelle, qui fait que la régulation, loin d’éteindre les risques, les embrase.
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C’est pourquoi en préalable l’ouvrage débute par une contribution d’économiste qui étudie l’hypothèse d’une « crise de régulation ». Les auteurs soulignent notamment que si le risque est inhérent au secteur, la régulation n’est pas de soi une activité risquée, c’est sa défaillance qui crée le risque. Dès lors, l’intervention du régulateur est problématique, car il peut éteindre la crise ou bien parce qu’il en est la source et ne se reprend pas, la faire perdurer ou l’accroître. Le régulateur n’a pas à poursuivre un objectif de risque 0 du secteur mais doit l’encadrer par sa capacité d’engagement propre et de la responsabilité des opérateurs. Le régulateur doit recevoir des incitations adaptées et ne pas être victime de capture tandis que l’Etat doit veiller à un design institutionnel efficace pour garantir l’indépendance du régulateur. Dans ce même préalable, une contribution de science politique montre que la crise est intime du politique, en ce qu’il fait vaciller celui-ci, la menace de la crise étant gérée par le politique d’une façon préventive. L’enjeu politique est de déterminer celui qui a le pouvoir de désigner ce qui constitue la menace. Dans la mesure où cette simple menace pourrait entraver la liberté, c’est à l’individu de la transformer en prescription et non pas à la loi, la transparence étant un moyen suffisant de gestion politique des crises. Enfin le risque est politique, il est logique qu’il figure dans la constitution qui fonde celui-ci.
La première partie de l’ouvrage porte sur les risques de systèmes, à travers l’hypothèse de la « crise générale ». Il y est démontré que dans le secteur bancaire et financier, il y a une articulation très forte entre régulation et crise puisqu’en la matière, la régulation a pour objet la prévention puis la gestion et la sortie des crises. L’auteur insiste sur le fait que sans doute, dans d’autres secteurs, notamment industriels, certaines entreprises ont une taille et une action si déterminante pour leur secteur, que le risque systémique existe pareillement et qu’une régulation analogue devrait être considérée. Dans le secteur énergétique, l’exemple gardé à l’esprit de chacun de la « crise californienne » est étudié pour démontrer qu’elle ait été causée par les défaillances de réformes concurrentielles de l’électricité qui furent opérées et du mauvais ajustement avec les autres régulations, notamment environnementales, ainsi qu’avec les comportements sociaux (gestion de la chaleur et de la climatisation). La crise californienne est donc bien une crise de régulation. Le risque sanitaire est lui aussi un objet de régulation car la sécurité des aliments, par le mécanisme des chaines des chaines de distribution, les contaminations, les interactions entre l’agriculture, l’alimentation et la santé, font qu’une régulation globale est nécessaire. Une trop grande fragmentation de ces régulations ou le fait qu’elles soient organisées d’une façon très différente pour ces divers objets pourtant intimement lié constitue un risque de régulation.
C’est pourquoi la contribution suivante met en valeur que d’une façon générale la régulation doit être utilisée comme mode de prévention des crises. Puisque la régulation se définit comme de la concurrence à laquelle s’ajoute autre chose, cette « autre chose » peut être le risque. Mais les risques sont extrêmement divers suivant qu’il s’agit de finance, de santé ou d’électricité, le risque de régulation pouvant provenir de l’hétérogénéité du risque. Dès lors, faut-il simplement utiliser la régulation pour prévenir le risque, Alors que la régulation se soucie certes de l’équilibre vis-à-vis de la concurrence mais n’intègre pas la très forte incertitude qui caractérise le risque. C’est ainsi que la transparence de la régulation ne suffit sans doute pas et qu’il convient de préférer le très puissant principe de communication qui soutient le principe de précaution. Mais l’on peut aussi demander au régulateur de prendre en charge cette gestion des risques, si l’Autorité de régulation est l’institution la plus adéquate pour le faire. Or, l’indépendance qui la caractérise n’est pas centrale dans la prévention des risques et la multiplicité des régulateurs contrarie la centralisation de l’information, ce qui constitue un risque. La contribution suivante, économique, étudie le moment de la sortie de crise, moment particulièrement risqué quel que soit le secteur dont il s’agit.
La contribution souligne que le nombre de crises de la régulation a augmenté, peut-être parce que nous sommes en transition entre deux types de système économique et qu’en outre, le fonctionnement court-termiste dans les régulations crée des risques, notamment à travers les conflits d’intérêts. Il peut y avoir risque lorsqu’une régulation a été mise en place, en considération des circonstances qui changent, par exemple la transformation radicale de l’entreprise dominante qui oblige l’adaptation de la régulation que le régulateur ne peut seul infléchir. D’une façon plus générale, il y a crise de régulation quand le régulateur n’arrive plus à satisfaire toutes les missions contraignantes qui lui sont imposées. La perspective de crise du secteur ou de la régulation ayant un effet incitatif sur les opérateurs, le régulateur doit s’adapter, faute de quoi il entre en crise. L’essentiel demeure la capacité d’engagement du régulateur, de l’Etat et de la société même à travers la crise, ce qui en conséquence fait demeurer stables les comportements des opérateurs. Il n’est pas inconcevable si le régulateur est dépassé et ne peut plus imposer le respect des engagements, ni à lui-même ni à autrui, de prévoir une sorte de « Haute Autorité de la régulation » qui le suppléerait en cas de crise, pour protéger le politique des groupes de pression et imposer le respect des engagements.
La deuxième partie du volume porte sur un risque particulier de la régulation, qui est l’incohérence. Le volume met en lumière la réponse à ce risque qui doit être l’ « interrégulation ». Elle vise à montre que pour appréhender les risques de systèmes les institutions, avec plus ou moins de systèmes, se mettent elles-mêmes en "interrégulation". Pour l'instant, elles le font relativement peu, d'une part parce qu'elles sont bloquées par le caractère clos que sont les différents systèmes juridiques, construits sur le territoire et non pas sur le risque qui est relativement indépendant de celui-ci, et d'autre part parce que la conscience de la nécessité et de l'efficacité de l'interrégulation est encore faible. Pour l'instant, cela relève encore quasiment de "l'hypothèse", pour traduire quelques réalités éparses, plutôt procédurales, voire simplement factuelles entre régulateurs ou entre juges, assez peu encore intersectorielles.
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Accéder aux présentations des 3 articles de Marie-Anne Frison-Roche dans cet ouvrage :
📝 L’hypothèse de l’interrégulation.
📝L’office de règlement des différends, entre régulation et juridiction,
📝Arbitrage et droit de la régulation.
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25 janvier 2005
Publications
25 janvier 2005
Publications
► Référence complète : Frison-Roche, M.-A., L’office de règlement des différends, entre régulation et juridiction, in Les risques de régulation, coll. « Droit et Economie de la Régulation », t.3, Dalloz / Presses de Sciences-Po, 2005, p. 269-287.
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► Résumé de l'article : La notion d’office, si usuelle lorsque l’on parle du juge, doit aussi être utilisée concernant le régulateur, en ce qu’elle renvoie à la notion de mission, à la noblesse d’un service guidé par sa finalité. Mais autant il est usuel de considérer que le premier office d’un juge est de trancher les litiges, autant la doctrine estime qu’un régulateur ne prend en charge cette tâche que d’une façon auxiliaire. En effet, le juge serait toujours enfermé dans le rapport bilatéral entre les parties qui se disputent, alors que le régulateur est en charge d’un système.
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📕 Lire une présentation générale de l'ouvrage dans lequel l'article est publié.
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Lire le résumé développé de l'article ci-dessous
25 janvier 2005
Responsabilités éditoriales : Direction de la collection "Droit et Économie de la Régulation", aux Presses de Sciences Po et aux Editions Dalloz
Référence complète : Frison-Roche, M.-A. (dir.), Les risques de régulation, 2005.
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Présentation générale de l'ouvrage :Après avoir défini ce que peut être une "crise de régulation" et soulignant que la crise est également un phénomène politique, l’ouvrage consacre une première partie au "risque de système", ce qui renvoie à l’hypothèse de la crise générale. Cette hypothèse est exposée d’une façon prospective ou à partir de cas dans différents secteurs, par exemple financier, énergétique ou sanitaire, avant de se demander comment organiser les sorties de crises.
La régulation comprenant elle-même des risques, celui que l’ouvrage choisit d’étudier est l’incohérence car l’éclatement des systèmes de régulation constitue un risque aigu. C’est pourquoi il est proposé d’organiser des mécanismes d’interrégulation ayant fonction d y parer.
Enfin, la régulation est apte à régler des risques particuliers que sont les conflits, à travers le mécanisme de règlement des différends, dérivés du juridictionnels, examiné dans chacun des secteurs régulés.
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25 janvier 2005
Publications
► Référence complète : M.-A. Frison-Roche, "Arbitrage et droit de la régulation", in M.-A. Frison-Roche (dir.), Les risques de régulation, série "Régulations & Compliance", coll. « Droit et Economie de la Régulation », t.3, Dalloz/Presses de Sciences Po, 2005, pp.223-240.
Cet article a été également publié dans l'ouvrage Le contrat d’arbitrage, éd. Légis, 2005, pp.323-33.
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► Résumé de l'article : xxx
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📝 lire l'article
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11 janvier 2005
Conférences
10 janvier 2005
Organisation de manifestations scientifiques
6 janvier 2005
Publications
Référence complète : FRISON-ROCHE, Marie-Anne, Les Grandes Questions du Droit Économique. Introduction et documents, avec Sébastien BONFILS, collection "Quadrige", PUF, 2005.
Présentation générale. Ce manuel, de conception originale, n'est pas une description linéaire des solutions du droit économique mais part plutôt des exemples concrets des affaires ou des évolutions juridiques qui conduisent le lecteur à se poser des questions sur la vie économique et sociale, tel que ce que ce droit les reflète
. Sont ainsi successivement examinés des généralités sur le droit économique, l'entreprise, ses difficultés, les règles communes aux différentes sociétés, la société anonyme, les autres formes sociétaires, le droit du marché financier, le droit civil de la concurrence et le droit du marché concurrentiel.
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Le plan détaillé de l'ouvrage est le suivant :
Préliminaire, 1
Titre I - Généralités sur le droit économique
Chapitre 1. Articulation entre le système juridique et le système économique, p. 9
Chapitre 2. Droit civil, droit commercial, droit économique, p. 18
Chapitre 3. L'entreprise entre le droit des sociétés et le droit du travail, p. 28
Chapitre 4. Droit économique et répression, p. 37
Chapitre 5. Droit économique et, droit privé, droit public, p. 47
Chapitre 6. La puissance du droit européen, p. 59
Chapitre 7. Droit économique et mondialisation, p. 69
Titre II - L'entreprise
Chapitre 1. La notion d'entreprise reçue par le droit, p. 83
Chapitre 2. L'expression de l'entreprise à travers la personnalité morale, p. 92
Chapitre 3 Les biens de l'entreprise à travers le fonds de commerce, p. 100
Titre III - Les difficultés des entreprises
Chapitre 1. La prévention, p. 109
Chapitre 2. Redressement et liquidation des entreprises en difficulté, p. 117
Chapitre 3. Les sanctions encourues par les dirigeants des entreprises en difficultés, p. 125
Titre IV - Les règles communes aux différentes sociétés
Chapitre 1. L'importance retrospective de la personne et du capital dans les organisations et les formes sociétaires, p. 135
Chapitre 2. L'importance retrospective des volontés individuelles et du pouvoir de la loi dans les organisations et les formes sociétaires, p. 143
Chapitre 3. Le jeu et la protection des intérêts dans l'organisation et les formes sociétaires, p. 151
Chapitre 4. les éléments fondamentaux d'une société, p. 160
Chapitre 5. Hiérarchie et démocratie, p. 168
Chapitre 6. La traduction juridique de la corporate governance, p. 175
Chapitre 7. L'impact des lois nouvelles (loi NRE du 15 mai 2001, loi de sécurité financière et loi sur l'initiative économique du 1er août 2003), p. 185
Chapitre 8. Les groupes de sociétés
Titre V - La société anonyme
Chapitre 1. La complexité des titres émis, p. 209
Chapitre 2. La diversité des droits attachés aux titres, p. 218
Chapitre 3. La société anonyme avec conseil d'administration et président du conseil d'administration, p. 226
Chapitre 4. Le commissaire aux comptes, p. 235
Chapitre 5. Les opérations sur capital et sur titres, p. 246
Chapitre 6. Les opérations sur la personnalité, p. 256
Titre VI - Les autres formes sociétaires
Chapitre 1. La société en nom collectif, p. 263
Chapitre 2. La société à responsabilité limitée, p. 271
Chapitre 3. Les sociétés en commandite, p. 280
Chapitre 4. La société par actions simplifiées, p. 288
Titre VII - Le droit du marché financier
Chapitre 1. La vertu de contrôle du marché financier, p. 299
Chapitre 2. L'accessibilité de principe au pouvoir sociétaire, p. 306
Chapitre 23. Les comportements contraires à l'intérêt du marché, p. 313
Titre VIII - Le droit civil de la concurrence
Chapitre 1. L'aménagement contractuel de la concurrence : les clauses de non-concurrence, p. 325
Chapitre 2. La faute de concurrence déloyale, p. 335
Chapitre 3. La sanction de la concurrence déloyale et du parasitisme, p. 346
Titre IX - Le droit du marché concurrentiel
Chapitre 1. Un droit au service du marché, p. 357
Chapitre 2. Concurrence, service public et consommateurs, p. 363
Chapitre 3. Les spécificités institutionnelles du droit de la concurrence, p. 369
Chapitre 4. La considération concrète du marché pertinent, p. 378
Chapitre 5. Rapports et conflits entre le droit de la concurrence et les autres branches du droit, p. 389
Chapitre 6. Contrôle des concentrations, p. 399
Chapitre 7. Sanctions des ententes, p. 409
Chapitre 8. Sanction des abus de position dominante, p. 415
Bibliographie générale, p. 429
6 janvier 2005
Publications
16 décembre 2004
Publications